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Pinky Chips, l’e-shop qui révolutionne
la mode pour enfants à La Hulpe

L’entreprise née en 2020 facilite la vie des parents, tout en habillant leurs enfants avec des pièces de seconde main de qualité et très stylées.

 

 

Révolutionner la mode pour enfants. - P.C.                Stephanie DELLICOUR  - P.C.

Par Coralie Lambret

Publié le 03/08/2023 à 12:15

Stéphanie Dellicour a créé Pinky Chips en octobre 2020. L’idée est née de sa propre vie de maman, qui ne savait plus que faire des vêtements de ses deux filles. Le casse-tête que représentait la garde-robe de ses enfants lui a inspiré un concept d’e-shop, où acheter et revendre des vêtements en ligne. « Au début, c’était vraiment une activité en plus de mon job principal. Depuis, le projet a pris énormément d’ampleur », se réjouit Stéphanie. « Aujourd’hui et depuis plus ou moins un an, c’est mon travail à temps plein. » Pinky Chips a déjà attiré plus de 1.000 clients et fidélise de plus en plus de monde.

Pinky Chips, c’est quoi ?

Pinky Chips est un e-shop de seconde main destiné aux bébés et aux enfants de 0 à 16 ans. Stéphanie, entrepreneuse et maman a lancé cette marque de vêtements, convaincue que la seconde main est l’avenir de la mode pour les petites têtes blondes. « Avec ce projet, je veux prouver que la seconde main est une vraie solution pour s’habiller tout en prenant plaisir à faire du shopping », explique l’entrepreneuse. « La majorité de mes clients sont des femmes, et je veux qu’elles soient heureuses de déballer leur colis. En fait j’avais vraiment envie de dépoussiérer l’image de la seconde main. »

 

Des vêtements à la mode, de qualité, à tous les prix. - Nicolas de Broqueville

Pinky Chips propose plus de 7.000 pièces, toutes en parfait état, choisies pour leur qualité et aussi pour leur style. Tous les articles sont vérifiés plusieurs fois avant d’être mis en ligne et passent par différentes étapes. « On veut vraiment s’assurer que les articles sont irréprochables, sans tache mais aussi sans déchirure… », explique Stéphanie. En plus des vêtements, l’entreprise propose aussi des chaussures, des accessoires mais aussi des articles de puériculture textile.

Sur le site, les parents peuvent également revendre les vêtements que leurs enfants ne mettent plus.

Pour tous les budgets

Pinky Chips propose des articles qu’on peut classer dans six gammes différentes. « La gamme 1, ce sont les pièces sans marque et la gamme 6, ce sont les pièces de marques haut de gamme », précise Stéphanie. Cela permet de proposer des pièces accessibles à tous les budgets. Grâce au concept de seconde main, certains articles sont 80 % moins chers que s’ils étaient vendus neufs.

Des nouveautés pour la rentrée 2023

Cette année, Pinky Chips a lancé la collecte de vêtements à domicile. Les ambassadrices de la marque viennent chez vous, vous aident à trier votre garde-robe. Une solution qui vous permet de gagner du temps, de la place dans vos placards mais aussi de l’argent. En effet, le tri des vêtements vous permet d’augmenter votre cagnotte et de racheter de nouvelles pièces, adaptées à l’âge et au style de votre enfant. Le concept a été lancé en janvier 2023 et rencontre un grand succès.

 

Des ambassadrices trient la garde-robe de vos enfants. - P.C..

« Les ambassadrices ont deux rôles. Le premier, c’est de rendre service aux parents et le second, c’est de faire connaître le projet dans leur région grâce à leur réseau », indique Stéphanie. Ce service est pratiquement gratuit, une somme de 15€ est déduite du prix total de rachat pour les frais de déplacement et le défraiement. Actuellement, les ambassadrices sont présentes dans une grande partie de la Wallonie mais Pinky Chips en recherche toujours pour la région de Namur, du Luxembourg et pour une partie de Bruxelles. La société compte aussi s’étendre à la Flandre par la suite.

 

L’équipe Pinky Chips. - P.C.

Le site internet de Pinky Chips sera aussi traduit en néerlandais d’ici le mois de septembre prochain. « On a vraiment envie de couvrir toute la Belgique et d’être un projet qui sera disponible dans tout le pays », confie Stéphanie.